CHANT DE PROLÉTAIRE
CHANT DE PROLÉTAIRE – József Attila
Sur les eaux fraîches et immenses
les continents nagent en silence
parapamm paramm papamm
les continents nagent en silence
Hirdetés
l’on a des pots et des choux ronds
nous vivons sales et nous mourons
parapamm paramm papamm
nous vivons sales et nous mourons
oh pourquoi pleures-tu? pourquoi?
je reve une chemise neuv’ sur toi
parapamm paramm papamm
je reve une chemise neuv’ sur toi
il n’a de deuil il tue il vainc
dont seul le Parti prend soin
parapamm paramm papamm
dont seul le Parti prend soin.
1927. jan.